La défaite du LOSC face au PAOK (3-4) jeudi soir a laissé des traces bien au-delà du simple tableau d'affichage. Au cœur de la polémique : un échange tendu entre Benjamin André, capitaine des Dogues, et Donatien Drouin, responsable des Dogues Virage Est (DVE), capté par les caméras de Canal+ dans les couloirs du stade Pierre-Mauroy. Une scène qui n'a pas échappé à Bruno Genesio, visiblement agacé par le lieu choisi pour cette confrontation.
Interrogé en conférence de presse, l'entraîneur lillois n'a pas mâché ses mots. « La discussion avec Benjamin n'aurait pas dû, à mes yeux, avoir lieu. Non pas qu'elle n'ait pas d'intérêt, mais elle n'aurait pas dû avoir lieu à cet endroit-là », a-t-il affirmé. Pour Genesio, certains espaces restent intouchables. « Il y a des choses dans le football qui sont sacrées, je pense aux vestiaires et aux couloirs notamment », a-t-il ajouté.
Le technicien lillois ne remet pas en cause l'importance du dialogue entre joueurs et supporters, mais insiste sur le cadre. « On peut avoir des discussions, moi-même je le ferai en cas de besoin parce que les supporters sont une entité très importante dans un club de football. On leur doit le respect, mais comme tout le monde, il y a des droits et des devoirs », a poursuivi Genesio.
Le message est clair : oui au dialogue, mais pas n'importe où, ni n'importe comment. « Il y a des endroits où l'on peut discuter et d'autres où l'on ne devrait pas. C'est ce que je regrette », a-t-il conclu.
Interrogé en conférence de presse, l'entraîneur lillois n'a pas mâché ses mots. « La discussion avec Benjamin n'aurait pas dû, à mes yeux, avoir lieu. Non pas qu'elle n'ait pas d'intérêt, mais elle n'aurait pas dû avoir lieu à cet endroit-là », a-t-il affirmé. Pour Genesio, certains espaces restent intouchables. « Il y a des choses dans le football qui sont sacrées, je pense aux vestiaires et aux couloirs notamment », a-t-il ajouté.
Le technicien lillois ne remet pas en cause l'importance du dialogue entre joueurs et supporters, mais insiste sur le cadre. « On peut avoir des discussions, moi-même je le ferai en cas de besoin parce que les supporters sont une entité très importante dans un club de football. On leur doit le respect, mais comme tout le monde, il y a des droits et des devoirs », a poursuivi Genesio.
Le message est clair : oui au dialogue, mais pas n'importe où, ni n'importe comment. « Il y a des endroits où l'on peut discuter et d'autres où l'on ne devrait pas. C'est ce que je regrette », a-t-il conclu.
Accueil
Envoyer
Imprimer
Agrandir
Partager
